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Les 10 signes d’un mauvais colocataire

Les 10 signes d’un mauvais colocataire

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10 signes d'un mauvais colocataire

La vie en colocation n’est pas toujours de tout repos, et pour cause, qu’on emménage avec un ami ou un inconnu, il y a parfois de mauvaises surprises qu’on aurait aimé pouvoir éviter. Ceci n’est pas un spoiler, juste une liste non exhaustive des 10 signes d’un mauvais colocataire.

1. Il est fêtard

Aussi connu sous le nom d’extraverti, bruyant, trop bavard, il rentre à 5h du matin en veille d’exams avec des « nouveaux super potes » qu’il a rencontré il y a deux heures en boite ou dans la rue. Il parle fort, vous incite régulièrement à sortir alors que vous ne devriez pas et a un penchant alcoolique que lui-même nie avec vigueur. Il laisse généralement des petits souvenirs de ses apéros sur la table basse car, qui n’apprécie pas la douce odeur du tabac froid en prenant son petit déjeuner, ou encore d’être réveillé à 4h du matin parce qu’il a (encore) oublié ses clés !? Fuyez, camarades, le fêtard, aussi marrant soit il, est un mauvais colocataire.

2. Celui qui pourrait officiellement intégrer une famille ours

Sortir?  Pour quoi faire? Il passe ses journées vautré sur le canapé à jouer à la play, ou encore enfermé dans sa chambre à jouer en ligne. Sa chambre sent le mec qui ne s’est pas lavé depuis trois jours, et vous commencez à vous dire que le Coca Cola est peut être une drogue comme une autre, après tout. S’il refuse toute interaction humaine au point que sa vie d’ermite commence à vous déprimer, vous avez compris qu’il fait indéniablement partie de la catégorie « mauvais colocataires ».

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3. Le maniaque

Assoiffé de produits ménagers, il range en soirée alors qu’il est 21h, soirée qu’il a passé une semaine à organiser dans les moindres détails, si bien qu’à 20h30 il est l’heure du « colamaya » sous le regard dépité de vos amis. Il hurle quand vous n’utilisez pas de sous-verre, si bien que vous êtes devenus un pro de la vaisselle, enlevez vos chaussures avant même d’avoir passé la porte d’entrée et vivez maintenant sous le commandement ferme d’un planning dictateur accroché au frigo. Il est temps de réalisez que vous avez à faire à des signes flagrants d’un mauvais colocataire.

4. Le grand timide, individu un peu étrange..

Parfois il vous observe, vous l’observez, il détourne le regard, vous ouvrez la bouche, il part en courant. La timidité n’est pas un si vilain défaut quand elle reste dans la mesure du raisonnable, mais là, vous commencez à vous demander si vous avez un truc sur la figure ou si vous sentez mauvais. Il semblerait que vos amis, votre famille, et même votre poisson rouge procure du stress à votre coloc, quand un simple bonjour est l’affaire d’un effort herculéen. Signe d’un mauvais colocataire, et signe d’une cohabitation peu salutaire.

5. Le radin

Il compte, et recompte, et re-re-compte absolument tout. Jamais en retard pour payer le loyer, il n’a bizarrement jamais d’argent à vous prêter mais il vous emprunterait votre peau s’il le pouvait. Il doit faire un effort démesuré pour allumer le chauffage sur thermostat 4, n’oublie jamais de vous rappeler que vous lui devez la moitié des courses, cinq fois en deux jours si nécessaire, ni même que c’est lui qui a payer les bières pour l’apéro il y a deux mois. Si vous avez un colocataire radin, sachez que c’est mauvais signe!

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6. Le crado

Sa chambre est semblable à un grenier dévasté par une usine nucléaire il y a deux siècles et demi, il ne fait jamais la vaisselle, laisse trainer ses chaussettes sales près du canapé, chaussettes qu’il n’a pas l’intention de passer en machine mais qu’il remettra une fois son tiroir vide. Il vous a longuement expliqué comment il était possible de «remettre quatre fois son caleçon en le retournant », ne connaît pas le mot aspirateur et ressemble de près ou de loin à Robinson Crusoé, ou à Jesus, selon les références idolâtriques. Courrez tant qu’il est temps, et sauvez-vous d’une mauvaise colocation. Si vous entrevoyez une symbiose bactérienne un peu trop présente chez un individu, ce n’est jamais bon signe.

 

7. Le gros ronfleur

Une tronçonneuse, un tank, un avion en détresse ? Non, c’est juste votre colocataire, qui dort paisiblement. Pire que l’insomniaque, le ronfleur style tondeuse à gazon fera de vos nuits un enfer, surtout si vos murs sont majoritairement constitués de papiers peints, ou pire, si vous dormez dans la même chambre ; adieu sommeil, adieu morphée, bienvenu cernes et envies de meurtres. Le ronfleur, aussi sympathique soit-il éveillé, est un très mauvais colocataire.

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8. Celui qui est autoritaire, bipolaire mais surtout très relou

Vous pensiez vous émanciper de parents qui surveillaient vos sorties, fréquentations, notes et rythme de vie général, d’un oeil qui demeurait malgré tout bienveillant, en prenant une coloc ? Faux ! Il semblerait que vous soyez tombé sur le sosie de Tatcher en moins sympa. Aigrie, rancunier, à la limite du pervers narcissique, votre coloc qui avait tout d’abord l’air sympathique se révèle être un psychopathe avec un complexe de Napoléon pas du tout résolu. Signe de mauvais colocataire, très mauvais!

9. Le super-serieux-du-coup-super-chiant

Ambitieux, pompeux et nombriliste, il est un peu le super héros de vos parents, il travaille, étudie, repasse et sait faire à manger. Généralement pas très « intelligent physiquement », il ruine vos soirées films avec des documentaires sur la faune du Sahara, et vos dimanche avec des incitations culpabilisantes et répétées à aller faire un jogging. Impossible de  faire des soirées à l’appart car il étudie le samedi soir, il cherche à transformer toutes vos conversations en débat politique sur le glyphosate et parle comme il écrit avec des mots et des références qui vous laisse perplexe. Signe d’un mauvais colocataire qu’on ne voudrait même pas comme ami, ou cousin, ou chat.

 
10. L’amoureux qui le fait savoir

Il copule, embrasse langoureusement et longuement sur le canapé alors que vous vous tenez à dix centimètres, il est constamment plein d’une énergie joyeuse et émerveillée qui vous donne envie de vomir. Il passe sa vie accroché à son téléphone à rire comme un âne, ou pire accroché au bras de son « babe » qui lui saute à moitié dessus, si bien que vous commencez à vous demander si un dérèglement hormonal n’aurait pas joué dans cette affaire. Valable pour tout les nymphomaniaques, les pervers, les immatures du sexe et les lapins crétins, ceci est un signe malaisant de mauvais colocataire.

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